• Aujourd'hui, je te propose un très beau texte trouvé sur Faceboook :

    Dites vous bien qu'on a tous fait "l'armée" !!!
    Entendez bien ce mot : "EDUCATION NATIONALE"
    Vous captez la "teneur" de celui-ci ??? 
     
    À l'école, on t'apprend à te mettre en rang et ne surtout pas en sortir.
    On te demande de t'adapter, de t'intégrer, de t'asseoir à la même place toute l'année.
    On t'ordonne de te taire et d'écouter un point de vue.
    On te pousse à la compétition, d'étudier jusqu'à ce que tu t’écoeures, de sortir une feuille comme une menace !
    On te fait croire que tes notes déterminent qui tu es...
     
    Avec une méthode qui nous veut tous pareils, nous sommes des loups baptisés en moutons.
    On ne te dit pas forcément que tu es à part, différent et que cela fait de toi quelqu'un d'unique.
    Que peu importe tes résultats scolaires, tu es merveilleux et bourré de talents à montrer au monde...
    Que tu as le droit de t'exprimer et de laisser aller tes émotions !
     
    On te parle de gaz, d'électricité, de l'éolien... Sans jamais te dire que tu es toi-même énergie, comme tout ce qui t'entoure.
     On ne te dit pas que ton énergie vitale est alimentée par les énergies cosmiques et telluriques.
     
    On te parle de l'appareil reproducteur et des organes sexuels, sans s'attarder sur le respect de soi et le côté sacré de la sexualité.
    On ne te dit pas que ton corps est un temple émotionnel et que personne n'a le droit d'y toucher sans ton autorisation.
     
    On te colle un masque sur le visage et t'inonde les mains de gel hydroalcoolique, sans te parler nécessairement de la façon de booster naturellement ton système immunitaire et de rester en bonne santé.
    Sans te dire que la respiration est un facteur indispensable et primordial pour ton bon développement...
     
    On t'apprend la performance, la richesse financière des pays industrialisés,
    sans te souligner que la plus grande richesse est dans ton cœur et s'appelle l'Amour.
    Que peu importe la somme figurant sur ton compte en banque, si ton cœur est plein d'amour, tu seras bien plus riche que certains millionnaires !
     
    On te parle rapidement de pays du tiers monde où les gens meurent de faim et sont souvent en guerre, sans t'expliquer que ton propre pays leur vend les armes avec lesquelles ils s'entretuent et qu'il serait facile d'enrayer la faim dans le monde, si c'était rentable.
    Que la vie de certains vaut bien moins qu'un baril de pétrole ou un kilo de lithium...
     
    On te parle d'éducation civique, de droits et de devoirs en tant que citoyen, alors que nos élus, nos élites, les bafouent chaque jour qui passe.
    Que tu dois respecter les règlements, de l'école, de la cantine, alors que les puissants de ce monde ne respectent rien ni personne.
     
    On te parle rapidement des saisons et des cycles de la nature, sans t'expliquer que cela influe sur ton organisme et qu'il est important de respecter son environnement. Que l'humain est un hôte de la Terre et non son maître !
    Que Gaia est notre mère nourricière et qu'en la détruisant peu à peu, l'homme court à sa propre perte.
     
    On te donne une carte avec les planètes de notre système solaire sans t'expliquer que tu es constitué de poussières d'étoiles et que tu es relié à l'immensité du cosmos. Que tes pensées sont puissantes et créatrices. Que chaque vibration de l'Univers a une incidence sur ta propre énergie et vice versa, comme un véritable lien...
     
    Écoute mon enfant, ce que te disent les grands. Mais ne crois rien !
    Découvre les non-dits derrière les leçons classiques, les choses cachées derrière les prétendues vérités.
    Interroge-toi sur tout. Ne prends rien pour acquis.
    Jamais !
    P. Llech
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  • Pour  ce Noël, je te propose un texte de Krishnamurti , à méditer...Si nos dirigeants seraient capable de le lire, beaucoup de choses changeraient !! Hélas l'argent seul compte à leur yeux..

     

    La paix dans le monde

     

    Pour instaurer la paix dans le monde, pour mettre fin à toutes les guerres, il faut une révolution dans l’individu, en vous et moi.

    Une révolution économique sans cette révolution intérieure n’aurait pas de sens, car la faim est la conséquence d’une perturbation économique causée par nos états psychologiques, l’avidité, l’envie, la volonté de nuire, le sens possessif.

    Pour mettre un terme aux tourments de la faim et des guerres il faut une révolution psychologique et peu d’entre nous acceptent de voir ce fait en face. Nous discuterons de paix, de plans, nous créerons de nouvelles ligues, des Nations Unies indéfiniment, mais nous n’instaurerons pas la paix, parce que nous ne renoncerons pas à nos situations, à notre autorité, à notre argent, à nos possessions, à nos vies stupides.

    Compter sur les autres est totalement futile ; les autres ne peuvent pas nous apporter la paix. Aucun chef politique ne nous donnera la paix, aucun gouvernement, aucune armée, aucun pays.

    Ce qui nous apportera la paix ce sera une transformation intérieure qui nous conduira à une action extérieure.

    Cette transformation intérieure n’est pas un isolement, un recul devant l’action. Au contraire, il ne peut y avoir d’action effective que lorsque la pensée est claire, et il n’y a pas de pensée claire sans connaissance de soi.

    Sans connaissance de soi, il n’y a pas de paix.”

     

    La paix dans le monde

    PS:  si tu es seul(e) ce Noël, ou sans argent pour faire un peu la fête sache que je suis de tout cœur avec toi. Garde espoir et courage, regarde sur internet, il y a pleins de pépites pour nourrir ton cœur.

    Et rejoins dès que possible les gilets jaunes, pour retrouver "une fraternité, une solidarité" que la honte de la pauvreté nous avait fait oublier... Tu n'es plus seul(e), les sans "rien" se lèvent partout en France,de façon pacifique,  pour refaire un monde plus humain...
    Va sur le terrain, parles avec eux, et tu retrouveras un sens à ta Vie..

     

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  • Bientôt les vacances scolaires, aussi je sens de t'offrir  une histoire pour ton coeur d'enfant. Mais surtout tu pourras l'offrir à ton tour à tes enfants ou petits enfants. cool

    Bouddha voyageait de par le monde pour rencontrer ceux qui se disaient ses disciples et leur parler de la Vérité. Sur son passage, les gens qui croyaient à ses paroles arrivaient par centaines pour l'écouter, le toucher ou le voir, pour la seule fois de leur vie sans doute. Quatre moines qui apprirent que Bouddha serait dans la ville de Vaali, chargèrent leurs affaires sur leurs mules et entreprirent le voyage qui, si tout allait bien, durerait plusieurs semaines.L'un deux, connaissant mal l'itinéraire, suivait les autres sur le chemin.


    Au bout de trois jours de marche, ils furent surpris par une forte tempête. Les moines pressèrent le pas et arrivèrent dans un village où ils cherchèrent un abri jusqu'à ce que passe la tempête. Mais le dernier n'atteignit pas le village et dut demander asile à un berger des environs, qui lui offrit, toit et nourriture pour la nuit. Le lendemain matin, prêt à partir, le moine alla saluer son hôte. En s'approchant de l'enclos, il vit que la tempête avait effrayé les brebis et que le berger était entrain d'essayer de les rassembler.


    Le moine pensa que ses confrères devaient être sur le départ, et que, s'il ne se mettait pas rapidement en chemin, il serait trop loin d'eux. Mais il ne pouvait continuer sa route en abandonnant à son sort le berger qui lui avait offert l'hospitalité. C'est pourquoi il décida de rester avec lui jusqu'à ce qu'ils aient réussi à rassembler le troupeau. Ainsi passèrent trois jours, aprés quoi, il se remit en route, pressant le pas pour tenter de rejoindre ses compagnons.


    Suivant leurs traces, il s'arrêta dans une ferme pour se ravitailler en eau.
    Une femme lui indiqua où se trouvait le puits et s'excusa de ne pouvoir l'aider, mais elle devait continuer à récolter...Tandis que le moine abreuvait ses mules et chargeait ses outres d'eau, la femme lui raconta, que depuis la mort de son mari, il leur était très difficile, à elle et à ses jeunes enfants, de rentrer toute la récolte avant qu'elle se perde.L'homme se rendit compte que la femme ne parviendrait jamais à le faire à temps, mais il savait aussi que s'il restait, il perdrait la piste et ne pourrait être à Vaali quand le Bouddha atteindrait cette ville. " Je le verrai un peu plus tard ", pensa-t-il, sachant que Bouddha demeurerait quelques semaines à Vaali.
    La récolte dura trois semaines et, lorsqu’il eut terminé le travail, le moine reprit sa marche.


    En chemin, il apprit que Bouddha n'était plus à Vaali, mais qu'il était parti vers un village situé plus au nord. Il changea donc de cap et se dirigea vers la nouvelle localité. Il aurait pu arriver à temps, ne serait-ce que pour l'apercevoir, mais en chemin il dut sauver un couple de vieux entrainés par le courant, qui, sans son aide n'auraient pas échappé à une mort certaine. Lorsque les vieux eurent récupéré, il reprit  sa marche en sachant que Bouddha continuait son chemin...


    Le moine passa vingt ans à suivre le chemin de Bouddha...Chaque fois qu'il s'en approchait, quelque chose survenait qui retardait son voyage. Il y avait toujours quelqu'un qui avait besoin de lui et qui, sans le savoir l'empêchait d'arriver en temps voulu.


    Finalement, il apprit que Bouddha avait décidé d'aller mourir dans sa ville natale.
    " Cette fois, se dit-il, c'est ma dernière chance. Si je ne veux pas mourir sans avoir vu Bouddha, je ne peux plus m'arrêter en chemin. Rien n'est plus important maintenant que de le voir avant qu'il meure. J'aurai tout le temps, ensuite, d'aider les autres."
    Et avec sa dernière mule et ses quelques provisions, il se remit en route.


    La veille d'atteindre la ville, il buta presque sur un cerf blessé au milieu du chemin. Il le secourut, lui donna à boire et couvrit ses blessures de boue fraîche. Le cerf haletait, car l'air lui manquait, et il avait du mal à respirer. " Il faudrait que quelqu'un reste avec lui, pensa-t-il, pour que je puisse continuer mon chemin." Mais, il n'y avait personne alentour. Avec beaucoup de tendresse, il installa l'animal contre des rochers, il lui laissa de l'eau et de la nourriture à portée de museau, et se leva pour partir.
    A peine eut-il fait deux pas qu'il s'aperçut qu'il ne pouvait se présenter devant Bouddha en sachant, au plus profond de son coeur, qu'il avait laissé seul un moribond sans défense...


    Aussi déchargea-t-il sa mule et resta-t-il pour soigner l'animal. Toute la nuit, il veilla sur son sommeil comme il l'aurait fait s'il avait dû prendre soin d'un fils. Il lui donna à boire et changea les pansements sur son front. A l'aube, le cerf allait mieux.
    Le moine se leva, s'assit dans un endroit à l'écart et pleura...Finalement il avait aussi perdu sa dernière chance.
    " Je ne pourrai jamais plus le rencontrer ", dit-il à voix haute.


    - Ne me cherche plus, lui répondit une voix derrière lui, car tu m'as trouvé.
    Se retournant, le moine vit le cerf se couvrir de lumière et prendre la forme arrondie de Bouddha.
    " Tu m'aurais perdu si tu m'avais laissé mourir cette nuit pour aller à ma rencontre dans la ville.
    Et, en ce qui concerne ma mort, ne t'inquiète pas :
    Bouddha ne peut mourir tant qu'il y a des personnes comme toi, capables de suivre mon chemin pendant des années, en sacrifiant leurs désirs aux besoins des autres.
    C'est cela, Bouddha. Bouddha est en toi "

    (extrait de Laisse moi te raconter de Jorge Bucay)

    A la poursuite de Bouddha

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