• Nous avons tous la possibilité d'entendre la voix de notre partie supérieure, de notre esprit qui nous donne souvent des directives.
    Le célèbre livre 'la petite voix' d'Heleen Caddy, est un témoignage puissant de ces directives qui peuvent transformer notre vie.
    De même dans 'Conversation avec Dieu', Neale Donald Walsh, capte cette essence supérieure divine qui se manifeste par l'écriture ou par la pensée.
    Il est important d'écouter ces messages dit 'de l'au-delà', du monde invisible, qui sont souvent des enseignements, des informations, des conseils ou des protections.
    On peut appeler aussi cela parfois intuition.
    Ces messages proviennent de l'Esprit Source et passent par des guides, des maîtres, des anges ou autres entités divines ou pour les personnes qui ont retrouvé leur unité, directement par leur pensée supérieure.
    Combien de personnes ont été sauvées parce qu'elles ont su écouter ce ressenti, cette voix, cette force qui les a guidé sur une autre voie.

    Pour pouvoir capter cette voix, cette force, il est bon d'être attentif à ses pensées et savoir reconnaitre celles qui proviennent de la personnalité humaine et celle qui vient de 'plus haut'.

    Il arrive parfois, d'avoir une conversation intérieure entre les deux aspects de notre personnalité. C'est ce qui est parfois représenté dans les dessins animés, par l'ange blanc et le diablotin rouge ...

    Apprendre à écouter la voix supérieure apporte plus de confort dans sa vie. Elle protège, guide, conseille vers ce qui est meilleur pour soi.

    'Ma petite voix' me l'a dit, doit devenir courant dans les années à venir si vous lui donnez toutes les possibilités de s'exprimer.

    Apprenez à faire le silence intérieur. Evitez de nourrir des pensées de création négative, de faire des films intérieurs qui ne mènent à rien mais donnent des informations de demandes à votre esprit.
    Plus vous serez en paix intérieure et plus vous pourrez capter cette voix plus subtile qui est votre véritable conseillère pour l'ascension.
    Osez écouter le silence de l'amour, le silence de la paix, le silence de la vie.
    Paix et amour
    Joéliah
    amourdelumiere.fr

    Merci de diffuser en gardant la source y compris cette ligne.




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  •  

    Leçon du jour :  Par-dessus tout : je veux Voir (L : 27)

    Aujourd'hui, le cours nous demande de répéter cette phrase tous les quart-d'heures...Mais de quoi parle -t-il ??

    Le cours parle de "voir", il s'agit de la vision qui nous guidera vers le monde réel. Elle nous permet de voir au-delà du corps, la Lumière pur esprit chez notre frère. C’est la perception corrigée (l’expiation du cours). Cette vision ne s’obtient que par le pardon enseigné par le cours.. Car nous voyons au-delà des erreurs que notre frère ait pu commettre. Le pardon est le seul vrai but de notre vie. Car lui seul peut nous éveiller du rêve est nous apporter le bonheur. Nous sommes capable de pardonner en voyant vraiment qui EST notre frère, c’est  à dire pur esprit, donc incapable de pécher. Le pardon est le seul moyen de parvenir à la vision sainte.

     

    Par ce changement de perception, l’égo n’est pas détruit, mais remplacé par le Saint Esprit. Il va nous accompagner jusqu’à la connaissance en corrigeant notre vision. L’égo est une illusion de notre esprit, qui utilise le corps pour nous « attacher » au matériel. Il ne faut pas le combattre ou le détruire, simplement choisir entre l’égo ou le Saint-Esprit. Pendant de nombreuses vies nous avons donné allégeance à notre égo, car par le corps nous pouvons voir, toucher, posséder, détruire. L’égo nous offre toute une panoplie de plaisirs matériels et charnels, qui nous laissent toujours sur notre « faim » avec un vide intérieur. Ce vide traduit le sentiment d’être séparé de la Source, de Dieu. Comme cette idée est insoutenable, nous projetons notre culpabilité à l’extérieur : c’est pas moi c’est l’autre..le patron, le président, le conjoint, les enfants, etc.

     

    Lorsque notre esprit/mental s’en remet à l’Esprit Saint, celui-ci va nous amener à abandonner doucement tous les buts « matériels » de ce monde. Il va nous faire comprendre que notre esprit fait partie de celui de Dieu. Alors nous cesserons d’osciller entre Dieu et l’égo, découvrant l’Unité et l’Amour en toutes circonstance, notre cœur sera remplit de gratitude, et notre vie deviendra source de joie, de paix pour nous-même et tous nos frères et sœurs.


      



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  • En cette 24 ème journée de l'année, je te propose les commentaires des leçons du Livre d'exercices pour étudiants du Cours en miracles tirés des 8 recueils "Journey throught the workbook" de Kenneth Wapnick.. Cependant, si c'est ta toute première anée du cours, il est conseillé de faire la leçon normalement, donc sans l'aide de ses commentaires afin de ne pas influencer le processus de nettoyage trés profond que t'offre le cours..donc à toi de voir si tu lis la suite ou pas !!

    LEÇON 24


    Je ne perçois pas mon propre intérêt


    Cette leçon présente le thème de l'humilité. Nous sommes si sûrs que nous savons ce qui

    est le mieux pour nous, sans parler de ce qui est le meilleur pour les autres. Dans un sens,

    comme cette leçon nous le montre clairement, il est compréhensible que nous pensions de

    cette manière. D'un côté comme d'un autre on nous a appris que si nous ne nous

    occupions pas de nous, qui le fera ? Nous apprenons que nous ne pouvons avoir

    confiance dans les gens de ce monde : ils ne sont pas programmés pour assouvir nos

    besoins instantanément - physiquement ou émotionnellement. Nous ne pouvons pas

    complètement avoir confiance en nos parents non plus, même pour les meilleurs d'entre

    eux, selon le jugement du monde, ils ne sont jamais là pour nous tout le temps. Une partie

    de nous apprend ainsi que nous devons nous occuper de nous : nous ne pouvons avoir

    entièrement confiance en personne. Le contexte de cette leçon, donc, est la correction de

    la conviction que nous connaissons notre meilleur intérêt.


    1) Il n’est pas une situation qui se présente dans laquelle tu te rendes compte du

    résultat qui te rendrait heureux. Par conséquent, tu n’as pas de guide pour

    agir de la manière appropriée, ni aucune façon de juger du résultat. Ce que tu

    fais est déterminé par ta perception de la situation, et cette perception est

    fausse. Il est inévitable, donc, que tu ne serves pas ton propre intérêt. C’est

    pourtant le seul but que tu aies dans toute situation correctement perçue.

    Autrement, tu ne reconnaîtras pas ce qu’il est.


    Aucun ego ne va lire ces lignes sans être fortement insulté ! Jésus dit que nous n'avons

    aucun guide parce que nous nous sommes choisis comme guide, ce qui me rappelle des

    lignes du texte que je cite fréquemment : « Cesse maintenant d’être ton propre

    enseignant…car tu t’es mal enseigné » (T-12.V.8 :3; T-28.I.7 :1) Ceci, est alors une

    connexion subtile pour le choisir comme notre guide.

    Le raisonnement derrière cet enseignement est évident, une fois que nous y pensons.

    Savoir ce qui est dans notre meilleur intérêt présuppose que nous connaissons vraiment

    nos besoins, nos problèmes et nos désirs. Seulement alors, cela va sans dire, nous

    pourrions savoir comment satisfaire nos besoins, résoudre nos problèmes et accomplir

    nos désirs. Pourtant, comme nous l'avons déjà vu et comme il nous a été clairement

    enseigné dans le texte, le monde et le corps ont été littéralement faits pour tenir le réel

    problème de séparation - dans nos esprits - caché de nous. Donc, l’expérience de nos

    besoins et de nos problèmes n'est qu'un écran de fumée, dont le but est de fixer notre

    attention à nos corps - physique et psychologique - nous tenant ainsi écarté de l'esprit,

    où est logé à la fois le problème et la solution.

    De plus, le résultat inévitable de notre arrogance initiale la complique encore davantage

    en demandant à Jésus ou à l'Esprit Saint de nous aider à résoudre un problème pour

    lequel nous avons déterminé la nécessité d'une solution. Ainsi nous nous attendons à ce

    qu'Ils partagent notre besoin dément de protéger notre séparation pour qu'elle ne soit

    jamais défaite. Nous retournerons à ce thème important ci-dessous.


    2) Si tu te rendais compte que tu ne perçois pas ce qu’est ton propre intérêt, il

    serait possible de te l’enseigner. Mais en présence de ta conviction de savoir ce

    qu’il est, tu ne peux pas apprendre. L’idée d’aujourd’hui est une étape en vue

    d’ouvrir ton esprit de façon à ce que l’apprentissage puisse commencer.


    L'humilité exige d'admettre que vous ne savez pas ce qui est le mieux pour vous et qu'il y

    a Quelqu'un en vous qui le sait et à Qui vous pouvez demander de l'aide. Le pas suivant

    vous fait comprendre combien vous ne voulez pas de Son aide et quand vous demandez

    son aide, le plus souvent c'est pour vous aider selon vos propres termes - et dans ce cas

    vous ne renoncez pas à investir dans la croyance que vous connaissez le problème et la

    solution.

    De plus, pourquoi apprendriez-vous quelque chose quand vous croyez déjà avoir la

    solution ? Comment peut-il vous aider, alors, si vous croyez déjà que vous connaissez la

    réponse à votre question, la solution à votre problème. C'est pourquoi dans Un Cours en

    miracles Jésus a besoin de vous faire comprendre que vous ne savez pas. Ainsi il vous

    apprend que l'étude réelle est le désapprendre : on ne peut pas vous apprendre la vérité

    avant que vous ne compreniez d'abord que vous ne la connaissez pas. C'est pourquoi

    Jésus insiste toujours auprès de ses étudiants sur les aspects du défaire de sa correction

    (voir, par exemple, T-1.I.26 :2-3; T-28.I.1 :1 :4; W-pII.2.3 :1-3; M-4.X.3 :6-7).

    Jésus nous demande de croire en lui suffisamment, pour suspendre toute nos croyances et

    dire avec sincérité : « Je ne perçois pas mon propre intérêt ». C'est un appel à l'humilité

    totale et ce qui implique que dans cet appel nous le choisissons comme notre enseignant

    au lieu de l'ego. Le commencement du paragraphe suivant fait écho à l'appel de Jésus :


    3) Les exercices d’aujourd’hui requièrent beaucoup plus d’honnêteté que tu n’as

    l’habitude d’en user. Un petit nombre de sujets considérés honnêtement et

    attentivement durant chacune des cinq périodes d’exercices à entreprendre

    aujourd’hui, t’aideront plus qu’un examen superficiel d’un grand nombre.

    Deux minutes sont suggérées pour chacune des périodes d’examen d’esprit

    que les exercices comportent.


    En exprimant lui-même cette voie, Jésus nous dit que nous avons été tout sauf honnêtes

    jusqu'ici. C’est pourquoi il met de manière répétitive l'accent sur l’examen de nos esprits.

    Une partie du problème se trouvant dans l’examen de notre esprit est que nous pensons

    chercher dans notre cerveau. À ce point nous ne comprenons pas vraiment la distinction

    que fait Un cours en miracles entre le cerveau et l’esprit, une erreur compréhensible

    quand nous considérons notre identification presque complète avec le corps. Ainsi nous

    oublions que notre cerveau est une défense. Si le monde a été fait comme une attaque

    contre Dieu, donc certainement le corps a été fait comme une attaque contre Dieu aussi et

    le cerveau est l'organe principal du corps : régissant ce qu'il pense, perçoit, dit et fait.

    Jésus nous demande d'être capable de venir à lui et de dire "je ne comprends rien.

    Apprend-moi s'il te plaît." Nous devons saisir la difficulté que cela représente. Il y a une

    partie de nous qui croit vraiment que nous savons ce qui est le meilleur pour nous.


    4) Les périodes d’exercices devraient commencer par la répétition de l’idée

    d’aujourd’hui, suivie d’un examen d’esprit, les yeux fermés, pour trouver les

    situations non résolues qui te préoccupent présentement. L’important est de

    découvrir le résultat que tu veux. Tu te rendras vite compte que tu as un

    certain nombre de buts à l’esprit qui font partie du résultat désiré, et aussi

    que ces buts se situent à des niveaux différents et sont souvent conflictuels.


    Notez l'utilisation du mot découvrir dans la phrase 2, ce qui fait écho à notre discussion

    sur la centralité du défaire pour la pratique du pardon. C'est aussi clair dans les

    instructions de Jésus que nous ne savons pas vraiment ce qui est dans notre meilleur

    intérêt. Comment le pourrions-nous ? Dans le cas où nous aurions quelques doutes à ce

    sujet l'exercice suivant nous rend cela limpide comme de l’eau de roche :


    5) En appliquant l’idée d’aujourd’hui, nomme chaque situation qui te vient à

    l’esprit, puis énumère avec soin autant de buts que possible que tu aimerais

    atteindre dans sa résolution. La forme de chaque application devrait être à

    peu près la suivante :

    Dans la situation concernant_____________, j’aimerais qu’il

    arrive___________ et qu’il arrive__________,

    et ainsi de suite. Essaie d’inclure autant de résultats différents qu’il peut

    honnêtement t’en venir à l’esprit, même si certains d’entre eux ne paraissent

    pas directement reliés à la situation, ou même lui être le moindrement

    inhérents.


    Cela met en place l'étape pour le paragraphe suivant, qui contient le point central de la

    leçon :

    6) Si ces exercices sont faits correctement, tu reconnaîtras vite que tu réclames

    de la situation un grand nombre de choses qui n’ont rien à voir avec elle. Tu

    reconnaîtras aussi que beaucoup de tes buts sont contradictoires, que tu n’as

    pas de résultats unifiés à l’esprit, et que tu seras forcément déçu par rapport à

    certains de tes buts, quel que soit le dénouement de la situation.


    Donc le message de cette leçon est que si nous sommes vraiment honnêtes avec nous

    même, nous allons reconnaitre la nature contradictoire de beaucoup de nos désirs et de

    nos buts. C'est inévitable quand vous considérez l'impossibilité d'avoir des buts non

    conflictuels quand nous ne reconnaissons pas notre meilleur intérêt. Pour nos egos, cet

    intérêt est l'instinct de conservation, mais puisque ce soi conflictuel est rempli de

    culpabilité et de crainte, comment l'atteinte de nos buts pourrait être autre chose que

    conflictuelle et imprégnée de la même culpabilité et de la même crainte qui ont conduit à

    eux ?

    Le paragraphe final de la leçon souligne encore une fois le point essentiel qui doit être

    appris si nous voulons achever avec succès le programme d'études d'Un cours en

    miracles.


    7) Après avoir fait la liste d’autant de buts espérés que possible, dis-toi, pour

    chaque situation non résolue qui te passe par l’esprit :

    Je ne perçois pas mon propre intérêt dans cette situation,

    et passe à la suivante.


    Jésus veut que nous généralisions cette leçon à toutes les situations de nos vies. Pour être

    certain que nous n'avons pas manqué l'objectif, ni que nous l'avons oublié, il continue cet

    enseignement dans la leçon 25 (que je te mettrais en ligne demain..).

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