• Depuis quelques semaines, une question me taraude l’esprit : « Comment aimer mon corps ?? »  Comme souvent, je me dépêche de l’oublier !!

     

    Hier soir, sur « Paltalk », de nombreux Amis d’UCEM ont partagé leurs expériences. C’était merveilleux, j’en avais souvent les larmes aux yeux... Puis Sylvain-Reiki, nous explique par canalisation, combien il est important d’aimer son corps. Ensuite, Caro nous partage comme il est bon d’aimer son corps.

     

    Au moment de m’endormir de nouveau cette question : « Comment aimer mon corps ?? ». Ok, je vais faire comme Laurent nous l’enseigne, allez au cœur de mon problème : « Pourquoi je considère mon corps comme une prison, une limite à mon évolution ? Pourquoi cette profonde tristesse, ce sentiment d’être piégée ??"

     

    Pendant de longues minutes, mon égo  s’est défoulé ! Il me citait même des passages d’un cours en miracles d’après sa compréhension : «  Le corps est un outil de séparation.. L’égo se sert du corps pour entretenir le conflit... Les cinq sens physiques barrent l’accès au monde réel.. Il est impossible d’aimer par le corps ». Plus je descendais en moiplus les arguments jaillissaient avec cette certitude : «   Voyons, Aimer ton corps qui est une prison est impossible ! ». Enfin l’égo s’est tu, à cours d’idées !

     

    Alors Il m’a parlé : «  Ton corps n’est pas une prison ! Ton corps est un temple. Rappels-toi quand Je t’ai dit : Vous pouvez détruire ce temple, en trois jours Je le rebâtirais !

     

    Mais qu’est-ce qu’un temple d’après-toi ??

    Un temple, ton corps, est un lieu où Nous prions Dieu, Notre Père. Un lieu d’Harmonie et de Paix où se trouve la Lumière pour te ressourcer. Chaque être (cellule) de ton temple s’efforce de servir Dieu. Par tes soins, ton amour, ta reconnaissance à chaque être ;  ton temple se purifie, vibre, illumine tes proches. Tout temple à un chœur/cœur. Cet endroit sacré est si  pur, si lumineux, qu’il est comme une colonne dorée de la terre au ciel, un lien d’Amour, de Confiance totale qui t’unie à Notre Père.

     

    Quels doutes pourraient encore t’attrister ?? Alors qu’à chaque fois que tu vas dans ton temple, ton église, tu ressens ma Présence, ma Paix ?? Quand tu vas prier dans le chœur, tu n’es plus seule. Tu es avec Dieu, tu es Dieu. Ton corps est un lieu sacré qui exprime qui Je Suis : Dieu, l’Un, Belle, Parfaite, Infinie, Invulnérable..

     

    Merci Père,  Merci à Notre Famille d’UCEM,  Merci à Qui Je Suis,  Merci à Qui Nous Sommes, Merci, Merci, Merci....

     

    Je Nous aime trèèèèèèèèèèès, trèèèèèèèèèèès fort !


     

    PS : De nombreux amis d'ucem ont réagit à cet article..Je te mets la réponse de Laurent qui va certainement t'éclairer davantage :

    Génial Raksha, génial.
    Merci de nous éclairer autant.
    C'est vrai qu'en lisant le cours ou en écoutant Ken Wapnick, on peut vite tomber
    dans le piège de detester son corps, c'est à dire de le nier puis donc de le hair.
    L'ego adore.
    Mais comme nous sommes l'amour sans opposés, alors l'Amour sans opposés ne peut QU' aimer son corps.
    Portons la Conscience impersonnelle et l'Amour détaché qui vient avec dans chaque cellules en effet,
    d'un corps puis d'un monde qui ne sont que lumière révélée par cette meme conscience impersonnelle.
    Les Témoins de l'Amour, voilà Qui nous sommes.
    Les heureux témoins qui voient Dieu en toutes choses et partout... et qui assistent à Dieu s'Aimant lui-même
    par et à travers Sa Création.... ou plutot Son Essence (pur les puristes ucem... ah! les puristes ucem, quelle race étrange!)
     
    Je vous aime fort du canada.
    Laurent

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  • Pour redémarrer tout en douceur, je te propose une histoire qui nous rapelle qu'un miracle est toujours possible...

    Tess avait huit ans quand elle entendit sa mère et son père parler de son petit frère, Andrew.
    Tout ce qu'elle savait c'était qu'il était très malade et ils n'avaient plus un sous.
    Ils déménageraient dans un mois dans un tout petit appartement parce que son père n'avait plus d'argent pour les factures du médecin et de la maison.
    Seulement une chirurgie très coûteuse pourrait sauver son petit frère maintenant et il n'y avait personne pour leur prêter l'argent.
    Elle entendit son père chuchoter à sa mère qui était en larme et désespérée,
    “seulement un miracle peut le sauver maintenant.”
    Tess alla dans sa chambre et sortit un pot en verre d'une de ses cachettes.

    Elle renversa tous les sous sur le plancher et les compta soigneusement. À trois reprises.
    Le total devait être exact. Pas de place pour une erreur.
    Soigneusement elle replaça les pièces de monnaie dans son pot et ferma le couvercle, elle sortit par la porte arrière et se rendit à la pharmacie.

    Une grande enseigne rouge d'un chef indien au-dessus de la porte.
    Elle attendit patiemment le pharmacien pour avoir toute son attention mais il était trop occupé.
    Tess croisa ses pieds de façon à faire du bruit. Rien.
    Elle s'éclaircit la gorge avec le bruit le plus répugnant qu'elle pouvait faire. Pas bon.
    Enfin elle prit 25 cents de son pot et l'a cogné sur le comptoir de verre.
    Cela avait marché! “Et que veux-tu?” demanda le pharmacien, “je parle à mon frère de Chicago que je n'ai pas vu depuis très longtemps,” lui dit-il sans attendre une réponse à sa question.
    “Bien, je veux vous parler au sujet de mon frère,” répondit Tess avec le même ton. “Il est vraiment, vraiment malade… et je veux acheter un miracle.” “Je te demande pardon?” dit le pharmacien, “son nom est Andrew et il a quelque chose de mauvais qui grossit à l'intérieur de sa tête et mon papa dit que seulement un miracle peut le sauver maintenant, alors combien coûte un miracle?”
    “Nous ne vendons pas de miracle ici petite fille. 'Je suis désolé mais je ne peux pas t'aider” dit le pharmacien plus doucement. “Écoutez, j'ai l'argent pour payer. Si ce n'est pas assez, je trouverai le reste, dites-moi juste combien il coûte.”
    Le frère du pharmacien était un homme grand et bien habillé.
    Il se pencha vers la petite fille et lui demanda, “quel genre de miracle ton frère a t-il besoin?” “Je ne sais pas,” répondu Tess. “Je sais juste qu'il est vraiment malade et maman dit qu'il a besoin d'une opération. Mais mon papa ne peut pas payer, alors je veux utiliser mon argent “. “Combien tu as?” demanda l'homme de Chicago, “un dollar et onze cents,” répondit Tess tout bas, “et c'est tout l'argent que j'ai, mais je peux en obtenir encore plus s'il le faut. “Bien, quelle coïncidence,” a sourit l'homme. “Un dollar et onze cents, le prix exact d'un miracle pour les petits frères.”
    Il prit l'argent dans une main et avec l'autre main il saisit sa mitaine et dit “emmène-moi où tu demeure.
    Je veux voir ton frère et rencontrer tes parents. Voyons si j'ai le genre de miracle dont tu as besoin.”

    Cet homme bien habillé était le DR Carlton Armstrong, un chirurgien, se spécialisant dans la neuro-chirurgie.
    L'opération a été faite sans coûter un sous et rapidement Andrew était de retour à la maison et se portait bien.
    Ses parents parlaient de la série d'événements qui les avaient menés au bout de ce chemin, “cette chirurgie”, chuchota sa mère, ” fût un vrai miracle. Je me demande combien il aurait coûté?”
    Tess a sourit. Elle savait exactement combien le miracle avait coûté… un dollar et onze cents… plus la foi d'un enfant.

    Source : inconnue


     

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  • Ca y est, je pars en vacances une semaine en Dordogne, près de Sarlat.. Donc , je serais  totalement absente du web durant  cette période (pas d'ordi, pas de téléphone, cooool !!) . Tu pourras lire ou relire les articles que tu n'as pas bien vu, !!
    Pour te faire patienter jusqu'à mon retour, je te propose deux vidéos l'une pour réfléchir au mesage et l'autre de mes musicien  et peintre préférés... Prends le temps de t'imprégner de ces merveilles, tu as plusieurs jours pour le faire !!!













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