Asseyez-vous au calme, restez tranquille et ne partez pas avec les pensées qui arrivent, laissez les passer sans leur porter d'intérêt. Ne recherchez pas le Soi, car ce serait comme si votre oeil essayer de voir votre rétine. Vous êtes le Soi.
Il n'y a rien à arranger, rien à faire, rien n'a besoin d'être mieux ou différent... tout cela, ce ne sont encore que des pensées, il n'est nul besoin de leur prêter de l'intérêt. Les choses sont très bien telles qu'elles sont. Détendez-vous. Détendez-vous de l'intérieur.
A tout moment vous êtes soit dans l'observation sans effort, ou dans la croyance de vos pensées.
Soyez préparé à laisser les conséquences prendre soin d'elles-mêmes.
Laissez votre attention sur ce qui se passe et non sur la crainte de comment cela pourrait vous affecter.
Les pensées apparaissent et disparaissent d'elles-mêmes. Il n'y a aucune propriété à défendre, car il n'y aucun propriétaire.
Vous pouvez voir que chaque pensée que vous entretenez ne sert qu'à perpétuer le "je" personnel.
Sentir et expérimenter le bonheur réel, la joie sans cause demande l'abandon conscient et inconscient de votre intérêt dans les pensées.
Demeurer dans votre état naturel ne requiert aucun mouvement ou faire de votre part.
La souffrance est l'idée qu'il existe un "je" qui n'aime pas ce qui se passe.
Le problème n'est pas le mental, c'est l'identification avec les pensées qui crée la souffrance.
Votre vraie nature est sans cause et vivre un bonheur sans cause est votre état naturel.
Vous n'avez pas à être parfait, vous n'avez pas à avoir une bonne santé, vous n'avez pas à le faire avant que votre corps meurt, cela n'a rien à voir avec aucune chose : c'est ici maintenant, placez votre attention derrière toutes les histoires et derrière les concepts. De là naît la liberté, la beauté, l'amour.
Rien en réalité ne vous arrive, à moins de vouloir croire le contraire.
Ici, maintenant, vous pouvez vous installer dans l'état le plus naturel, qui jouit d'une paix mentale sans fin et d'une libération du coeur.

De Tobias canalisé par Geoffrey Hoppe La Prière Silencieuse est une reconnaissance de Celui qui Est. Dans cette prière, je sais que chacune des prières que j’ai dite est accueillie par l’Esprit, et que l’Esprit m’a accordé tout ce que j’ai demandé. Elle est la reconnaissance que mon âme est totalement dans l’amour et la grâce de Dieu. Elle est la reconnaissance de l’Être parfait que je suis. Tout ce que je désire, tout ce que je veux co-créer est déjà réalisé. Je l’appelle la Prière Silencieuse parce que je sais que mon Être est déjà réalisé. Il n’y a rien à demander, tout a déjà été donné.

 

En mon cœur, j’accepte la perfection de mon Être.
J’accepte que la joie à laquelle j’aspire soit déjà dans ma vie.
J’accepte que l’amour, objet de ma prière soit déjà en moi.
J’accepte que la paix que j’ai demandée soit déjà présente.
J’accepte que l’abondance que je recherche comble déjà ma vie.

Dans ma vérité, j’accepte mon Être parfait.
J’endosse la responsabilité de mes propres créations,
Et de tout ce qui est dans ma vie.
Je reconnais le pouvoir de l’Esprit qui est en moi,
Et je sais que tout est comme il devrait être. 

Dans ma sagesse, j’accepte mon Être parfait.

Mes leçons ont été soigneusement choisies par Moi,
Et maintenant je les vies pleinement.
Ma voie me conduit à un voyage sacré dans un but divin.
Mes expériences participent au Divin. 

Dans ma connaissance, j’accepte mon Être parfait.

En ce moment, je suis assis dans mon fauteuil doré

Et je sais que Je Suis un ange de lumière.

 

Je regarde le plateau doré – le don de l’Esprit –

Et je sais que tous mes désirs ont déjà été comblés. 

Dans l’amour de moi-même, j’accepte mon Être parfait.
Je ne porte aucun jugement, ou ne mets aucune charge sur Moi-même.

J’accepte que tout dans le passé me fût donné dans l’amour.
J’accepte que tout en ce moment me vienne de l’amour.
J’accepte que tout dans mon futur produise plus d’amour. 

Dans mon Être, j’accepte ma perfection.

Il en est ainsi.