• L'Eveil...

    Souvent les personnes éveillées expliquent qu'elles lâchent prise, et qu'une Force plus grande qu'elles (Dieu, Précense, Conscience...)  prends le contrôle de leurs vies... Seulement, beaucoup d'enseignants utilisent un language trop compliqué pour mon niveau culturel (oups!!) . Or, c'est bien connu: ce que l'on ne comprends pas fait peur !


    Hier, j'étais surfer sur le superbe site : http://www.choix-realite.org/?home. Et j'ai lu avec beaucoup de joie et de compréhension le texte ci-dessous...Je sais que ce texte est un peu long, mais comme mes articles deviennent rares, tu as tout le temps de le lire, le relire et de bien t'en imprégner !! J'espère que ce texte t'apporteras autant de Lumière qu'à moi... Namasté.

     

    escalier

     

    C'est le silence qui guérit

    Au beau milieu d’une existence banale, de mère, épouse, femme d’affaires, Yolande connaît un éveil spontané en 2003. Sans référence à aucune tradition spirituelle, elle témoigne ici pour la première fois. Pendant quarante ans, comme tout le monde, je me suis prise pour mes pensées, pour mon corps : je me prenais pour une personne. Et puis il y a eu ce basculement. En un instant, spontanément, ce silence dans ma tête. Plus de pensées : le silence, une stupeur, un étonnement profond qui ne laissait place à rien d’autre.

    Alors je me suis mise à observer. Mon fonctionnement avait changé. Il y avait « cette chose », ce silence… et tout le reste. Le reste, ce que j’appelle le je suis, c’est-à-dire le contenu de l’instant : j’ai vu que tout apparaissait dans cette chose, d’instant en instant. Que tout y disparaissait.

     

    Ton fonctionnement avait changé, dis-tu ?

    Il y avait une légèreté, un bien-être. Je me sentais en phase avec moi-même, en phase comme je ne l’avais jamais été. Les choses se présentaient, les situations, les événements, même ceux qui auparavant m’auraient dérangée… Je ne trouvais rien à y redire. Je ne réagissais plus, en fait. Et lorsque, deux mois plus tard, mon fils est mort dans un accident… même chose. Ce silence, cette tranquillité m’empêchait de réagir, m’empêchait d’être une mère détruite par la mort de son fils. J’ai vu que la souffrance n’existait pas.

     

    La souffrance n’existe pas !?

    Ce n’est pas la situation qui fait souffrir. Pour moi, il y a le silence. La situation ne fait pas souffrir quand le silence, quand cette chose est là.

     

    Cette chose, qui la voit ? Yolande ?

    C’est cette chose qui voit. En elle apparaît la vision, la clarté qui voit tout ce qui apparaît. En fait, c’est simultané : à l’avant-plan il y a cette chose et… le reste, tout ce qui apparaît, toute l’existence, au second plan. Cette chose est l’espace qui est avant toute chose, toute pensée, tout événement. On ne peut pas la comprendre : c’est elle qui comprend tout, qui englobe tout. Cette chose - appelons-la Silence, Présence, Puissance, Amour ou Ultime Réalité, de toute façon aucun mot ne peut en rendre compte - cette chose, on peut seulement la vivre. Au début, je croyais qu’elle était au fond de moi. Maintenant je vois qu’elle est partout. Elle est tout. Il n’y a rien d’autre, rien qui ne soit elle. Il n’y a plus à s’inquiéter, à s’accrocher à rien.

     

    Cette chose est au fond de toi et partout… Et Yolande, où est-elle ?

    Yolande apparaît toujours, mais dans le second plan, comme le reste. Elle existe sans exister. Elle n’existe plus mais elle est là. Elle n’a plus de pouvoir. C’est ce silence, cette puissance qui a pris le pouvoir sur tout. Elle a tout de même des pensées, des émotions… Bien sûr des pensées, des émotions peuvent surgir. Mais cette puissance les balaye instantanément, elle les laisse au second plan. Donc tu n’as aucune possibilité de t’identifier à elles. Et cette chose est si puissante que tu ne peux revenir en arrière, tu ne peux revenir à ton ancien mode de fonctionnement, t’identifier à… tout ce que tu n’es pas.

     

    Ça m’est arrivé parfois, au début, d’essayer de penser comme avant, de faire des projets comme avant. Impossible. Tout comme, autrefois, si j’avais voulu arrêter de penser je n’aurais pas pu, aujourd’hui, si je veux penser, eh bien je ne peux pas. C’est aussi simple que ça.

     

    Et les émotions, toutes ces réactions automatiques qui nous viennent ?

    C’est pareil. La peur, la tristesse, c’est comme le reste : un mouvement qui passe en toi et qui repart. S’il n’y a personne pour se l’approprier, il n’y a pas de peur, pas de tristesse. Il n’y a pas de réaction.

     

    silence by donjuki


    D’où viennent, selon toi, les réactions ? Y a-t-il moyen de s’en libérer ?

    Elles viennent de la pensée. De la croyance en l’idée d’être une personne. Quand cette croyance tombe – et cela se fait en un instant, pas besoin de vingt ans de pratique pour ça – il n’y a plus que ce silence, cette intensité, alors tu te laisses faire. Il y a ce point de vue neuf qui est toujours là, ce vide plein, ce silence tantôt très intense et tantôt doux mais toujours présent. C’est une sensation, comme un toucher, une présence qui ne te lâche pas, même au milieu de l’action, de la concentration. Ce toucher omniprésent qui t’englobe, qui englobe tout le contenu de l’instant, t’empêche de t’identifier à la pensée, à l’émotion qui surgit. C’est lui qui te donne le sentiment profond que la personne n’est pas. Et c’est lui, c’est cette sensation qui devient vision, action… parce que cette spontanéité, cette sensation constante ne te permet pas d’être dans ta tête. C’est la sensation qui voit, directement. Et la vision, c’est l’action.


    La vision c’est l’action ?

    Quand tu es dans la fluidité, il y a action, sans filtre, sans pensée. Tu vois, tu sens; l’action, le geste, la parole se présentent spontanément, sans que tu aies eu à les penser.

    Comme si la réalité de l’instant te dictait le geste juste ?

    Tu vois que les choses se font toutes seules, sans besoin de les penser… La vie n’a pas besoin d’être pensée. Juste besoin d’être vue. Le reste se fait tout seul. Le simple fait de voir… …fait. Tu vois cette fluidité qui agit.


    Et l’amour, dans tout ça ? Tu dis que cette chose c’est l’amour… Qu’en est-il de l’amour entre deux personnes ?

    C’est la non-relation qui permet la relation.


    La non-relation ?

    La non-relation avec la personne que tu croyais être. La non-séparation. Et c’est cette chose au dedans qui permet ça. C’est elle qui permet l’amour, qui est amour.

    Dans la fusion amoureuse, on entre en relation avec la non-relation à l’intérieur de soi. C’est dans cette non-relation, cette chose, que réside l’amour. Et c’est parce qu’on entre en contact avec elle que l’on dit, que l’on sent « je suis amoureux ». L’autre n’y est pour rien. Ni soi-même. Ni la relation entre les deux… C’est l’écoute de cette chose, en nous, qui permet l’amour. C’est elle qui te fait découvrir que l’amour n’est pas à l’extérieur, qu’il ne dépend de rien, d’aucun objet, d’aucun état : c’est quelque chose qui est là, à l’intérieur. Plus besoin de chercher le bonheur à l’extérieur : cette chose qui te rend vivante, aimante, aimée… elle est avant tout, elle est là. Et c’est de cette chose, de cette non-relation, que l’on tombe amoureux. Un amour qui ne peut être détrôné par quoi que ce soit.

    C’est vrai aussi que dans la relation amoureuse il y a des instants d’oubli de soi-même, des instants d’intimité qui sont cette fusion, cette non-séparation. Le problème, c’est que quand il y a « tomber amoureux de » l’objet ou la personne, tu rentres dans une relation avec toi-même et tu ne vas plus penser qu’à ça, qu’à cette personne. Donc tu te coupes de l’essentiel. Cette même passion devrait être pour cette chose invisible qui te permet d’être dans la non-relation avec toi-même, donc aussi avec l’autre, et te permet de sentir l’intensité de l’instant présent plutôt que l’intensité de la seule relation avec cette personne.


    Cela signifie-t-il que tu ne peux plus tomber amoureuse de quelqu’un ?

    Tu es tombée amoureuse de cette chose invisible, ça, c’est sûr. Mais tu peux quand même tomber amoureuse de quelqu’un, puisque c’est ce que je vis. C’est beau de voir que, dans l’instant, tu es aussi amoureuse de cette personne. Mais si elle n’est plus là, ou si elle s’absente, rien ne manque. Cette chose est toujours là et elle te permet de vivre, même sans cette personne, dans un bien-être total.


    Donc, Yolande peut tomber amoureuse… Ce n’est pas une émotion, ça ?

    C’est l’intensité qui guide. Auprès de telle personne elle est plus forte qu’auprès de telle autre. L’intensité est là : tu la suis. C’est elle qui te fait être ici, ou là, avec celui-ci ou avec celle-là. Tu ne décides pas : tu y vas, tu y es. La tête n’intervient pas. L’émotion non plus.


    Dans cette intensité, comment perçois-tu l’autre, tous les autres ?

    Je les perçois comme moi, comme les arbres, la montagne, mes pensées : au second plan. J’en reviens toujours là. Ils sont là sans être là. Ils sont passés au second plan au même titre que moi, que mon corps, que tout ce que je croyais être.


    Oui, mais comment perçois-tu chacun ? Il y a des différences de l’un à l’autre, tout de même… même au second plan !

    Ce que je sens, surtout, c’est ce qu’il y a de plus proche en moi, c’est-à-dire mon corps, les sensations de mon corps qui se sont amplifiées à l’infini. Dans ce second plan, le plan du je suis, c’est le plus proche. C’est sensation, intensité, mouvement. Cette intensité varie avec ce qui se présente dans le contenu de l’instant, proximité de telle ou telle personne incluse. Mais il n’y a pas la pensée pour dire « parce que je sens tel mouvement dans mon corps, cette personne est comme ci », ou « je dois faire comme ça ». Ce qui va se faire dans l’instant se fera… mais ce ne sera pas le résultat d’un savoir, d’une compréhension : c’est le silence qui agit.


    Tu ne peux rien t’approprier ?

    Non.


    Mais perçois-tu mon psychisme, mes états d’âme ?

    Tu es là, tu sens, tu te laisses traverser par ce qui se passe, par un mouvement que tu sens dans ton corps, fusionné avec tout le reste. Mais tu n’interviens pas, tu n’as pas de réaction, d’opinion, de commentaire. Quand quelqu’un entre dans la pièce, tu peux sentir un mouvement plus inconfortable, ou sentir au contraire l’intensité qui se déploie, mais tu n’en déduis rien. Tu ne cherches pas à comprendre pourquoi, comment, ni s’il y a quelque chose à résoudre et comment. Tu sens, point.


    Et quand quelqu’un se confie à toi, te demande conseil ?

    Tu ne fais qu’être écoute. Il n’y a pas de mouvement de Yolande qui pense ceci ou cela. Mon je suis est partagé avec tout ce contenu de l’instant, et je laisse toute la place à cette chose à l’avant-plan, cette chose avant le je suis, pour agir si elle doit agir. Donc si un geste vient, il vient du silence. C’est lui qui sait. C’est lui qui fait.


    Que faire pour vivre ce silence ?

    Je fais une totale confiance à cette présence dans l’invisible. Donc la seule chose qui peut être dite, il me semble, c’est d’être ce que l’on est dans l’instant, de le vivre pleinement, simplement… et de laisser la spontanéité faire ce qu’elle a à faire.


    C’est quelque chose qu’on ne peut pas comprendre, pas apprendre, ni vouloir, ni savoir. Alors : se laisser faire – quoi d’autre ?

    Vivre l’instant pleinement, simplement… ce n’est pas si simple !


    Il y a des tas de moments dans la vie où l’idée de la personne disparaît, où il n’y a plus que cette chose qui voit. Les moments de joie, d’étonnement, d’émerveillement devant un paysage ou une belle musique. Les chocs aussi, une peur violente… Mais le plus souvent on ne les remarque pas, parce qu’aussitôt après la pensée se les approprie… Rester là, plutôt. Avant la pensée : sentir. Rester simplement avec cette sensation, sans vouloir comprendre ni résoudre rien. Avoir toute son attention portée sur cette sensation, et l’accepter surtout, l’accepter silencieusement, pas mentalement. Vraiment l’accepter totalement, en étant… simplement.

    Beaucoup de gens croient qu’il faut qu’il y ait une lumière, une grande lumière, des choses extraordinaires… Et si simplement c’était ça ?... Quand le silence est là : rester avec ce silence, cette tranquillité, découvrir au fur et à mesure ce que ça te procure comme légèreté de voir que tout est là, OK, mais c’est au second plan – pas besoin d’en faire un monde. Et quand c’est l’inconfort : rester avec cet inconfort, totalement, se laisser engloutir par lui, se laisser mourir – une mort psychologique - pour pouvoir laisser place à ce silence, le laisser prendre le dessus une bonne fois pour toutes…


    Rester là, avec cette sensation de l’instant, cette intimité… Rien que d’être là, tu n’es déjà plus là. Parce que tu sens tout le contenu de l’instant présent, sans interférer. Donc tu n’as plus l’idée d’être une personne : tu n’es que sensation. Tu sens cette conscience, peut-être encore un petit peu individuelle, que « ton » corps est inconfortable avec cette tristesse, ce malaise où tu es : déjà c’est un cadeau, parce que tu te rends compte que l’instant, l’intensité, la vérité n’est pas dans ta tête… C’est merveilleux de pouvoir sentir ça, déjà! Déjà accepter cette simplicité de sentir que la vie c’est ça, ce n’est pas voir des lumières ou entrer en extase : c’est ça, aussi. C’est la simplicité de ne pas être cette personne qui ressent. C’est sensation, point.


    Qu’est-ce qui fait que, pour la plupart, ces instants ne durent pas ? Que l’agitation revient ?

    C’est un problème d’identification. Le mental revient, redevient le plus fort et te piège. Piégé, tu y crois fermement, tu oublies le silence et cette chose puissante qui est là. Vivre ces moments quand il se présentent. Les vivre avant la pensée…


    La pensée aussi, il faut l’accepter. Elle reste au second plan. Laisser cette attention, cette sensation, cette chose au premier plan, dans cette simplicité totale, avant d’être cette personne qui dit « c’est à moi que ça arrive » ou « ça va passer ». Peut-être tout simplement accepter cette simplicité du silence, cette simplicité de sentir, cette simplicité d’être avant qui que ce soit. Rester dans cette simplicité de sentir, tout simplement, sans pour autant avoir été chercher cette tristesse, sans chercher à sentir ton corps ni quoi que ce soit d’autre.


    Se laisser saisir par ce qui est là, parce que c’est là… Quel est le sens de la recherche spirituelle, alors, puisqu’elle vise toujours un savoir, un état, un progrès, quelque chose « devant » ?

    Elle a encore un sens puisqu’elle est là, puisqu’elle se présente. Vouloir faire le contraire ce serait la même chose : ce serait refuser ce qui se présente… Je crois qu’il faut accepter tout ce qui se présente, que ce soit de méditer, de faire du yoga, d’avoir l’air d’être dans une recherche spirituelle – alors que ce qui entraîne dans tout ça, comme dans tout le reste de la vie d’ailleurs, c’est quand même et toujours cet état premier.


    Donc continuer à se laisser faire, même s’il y a encore la personne qui est là, et qui veut, et qui espère. Sentir, plutôt que d’essayer toutes sortes de techniques… Mais il faut aussi accepter ces techniques : elles font partie du chemin qui se présente à soi…

     

    temple-philae


    Propos recueillis par Laurence Vidal

    "Le silence guérit"   de Yolande Duran-Serrano et Laurence Vidal

    Editeur : Almora (12 avril 2010)

     

    « Je ne sais pasTout est Amour... »
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  • Commentaires

    12
    Emmanuel Omar
    Samedi 15 Juin 2013 à 17:54
    Heureusement que tu as été inspirée de mettre en ligne ce somptueux témoignage sur ton site chère Simone. Cela fait longtemps que j'ai cessé d'être attentif au site choix réalité org... Et je ne m'en serais pas rendu compte su tu ne l'avais pas fait....
    Merci de tout coeur de nous avoir fait partager le ressenti, la nature et la réalité ( une et unique) de "la chose" ... Yolande en parle non pas en termes conceptuels abstraits mais à travers un vécu dont elle parvient, avec des mots simples, à nous faire ressentir la tendre et souveraine présence...
    "La chose" c'est ce que nous appelons Dieu! C'est ce que nous découvririons comme consubstantiel à notre Etre quand nous nous serons affranchis de notre paraitre... Yolande est en train de le vivre... donc c'est possible et c'est à notre portée!
    Merci "La chose" d'Etre! Merci Yolande de ton émouvant témoignage, Merci Simone d' être attentive à ce qui EST!
    11
    Esther
    Samedi 15 Juin 2013 à 17:54
    c'est bien ce que j'ai compris (sans pour autant le vivre....) là, je suis en pleine lecture d'un livre de Byron Katie, le TAO d'après elle (je ne crois pas que ça existe en français) et elle raconte ce qu'elle ressent (ou pas) et il y a des énormes similitudes avec ce recit....tout s'y trouve, et je comprends intelectuellement ce que c'est....je vois, je ressens, mais....je ne le vis pas (encore?) et je suis de plus en plus convaincue qu'on ne peut rien faire pouyr y parvenir, que ça décide tout seul de se faire ou pas. On peut apprencdre à calmer un peu ses pensées (en ne plus y croire) mais arriver completement à cette non-identification, n'est pas possible tant qu'on le fait avec le mental, car le mental ne peut comprendre ce qu'il n'est pas....un jour, ça viendra (lou pas, car à la fin, il n'y a rien qui doit arriver, on l'est déjà) c'est un peu comme tourner en rond sur place, parfois...

    je t'aime ma tendre amie
    10
    Mardi 11 Mai 2010 à 13:27

    Difficile de parler de l'expérience des autres sur un blog !!

    9
    Mardi 4 Mai 2010 à 18:55
    pourras tu nous en parler ? de ceux à qui ça arrive.. ainsi ; bonne soirée
    8
    Mardi 4 Mai 2010 à 17:39

    Marrant comme nos chemins se rejoignent sans passer par les même enseigants, (quoique)

    J'ai de plus en plus la certitude qu'il est possible de lâcher l'égo, peut-être parce qu'une Amie du cours à franchit le pas...je t'en reparlerais..

    Je sais que mon tour viendra, dans cette vie, quand j'aurais lâcher toutes mes peurs...juste une question de temps, et comme le temps n'existe pas, tout va bien

    à bientôt...youpi !!

     

    7
    Mardi 4 Mai 2010 à 17:34

    J'ai hate de vivre ce lacher-prise total, comme cela doit être reposant !

    6
    Mardi 4 Mai 2010 à 17:34

    un plaisir de partager, bonne semaine..

    5
    Mardi 4 Mai 2010 à 17:33

    l'as-tu emmené dans le désert ???

    4
    Mardi 4 Mai 2010 à 17:32

    Je ne vais pas régulièrement sur ce site, j'étais guidée à le faire.. J'adore cette façon de s'exprimer. Plus le langage estsimple, plus il touche le coeur

    3
    Dimanche 25 Avril 2010 à 10:50
    merci pour ce joli texte, et ce beau cadeau, bon dimanche à toi et bisous
    2
    Samedi 24 Avril 2010 à 15:08
    Allo Raksha! Merci de ce beau témoignage. La dame explique très bien ces sensations.. Et comme chacun sommes uniques, autant de manières différentes d'accéder et de vivre l'état de conscience. Gros gros bisous!!!
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    1
    Vendredi 23 Avril 2010 à 12:56
    je m'en fais une copie dont je vais me délecter ce soir pour m'en imprégner doucement
    tendresse
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